GIS – 21 July 2015: Moving towards a smart livestock sector is the aim of the Ministry of Agro-Industry and Food Security. In this context, a validation workshop for stakeholders on the Livestock Policy and Action Plan 2015-2020 is being held today at Voila Hotel, Bagatelle.
In
his address at the opening ceremony, the Minister of Agro-Industry and
Food Security, Mr. Mahen Kumar Seeruttun, stated that the aim of his
Ministry is to develop the livestock sector so as to boost local
production and marketing of milk, meat, poultry and related value added
products, thereby increasing self-sufficiency and its contribution to
national economy.
According to the Minister, the livestock sector, especially the production of meat and milk, constitutes an important economic pillar for the State. But this sector had for too long been neglected, he said, adding that it must know a drastic change, move from an archaic system towards the professionalisation of its activities to achieve its true potential whether in dairy or meat production, namely that of beef, sheep, pigs, goats and chicken.
Another sector we want to develop on a large scale and which will surely strengthen this sector is that of the breeding of turkeys, ducks and rabbits, said Mr Seeruttun. He underlined that Mauritius has become very dependent on imports whether the production of milk or meat. So we need to act quickly and efficiently and with the Livestock Policy and and Action Plan 2015-2020, we are proposing strategies and actions to reverse this trend, he added.
Moreover, the Minister announced the construction of a modern slaughterhouse and a National Wholesale Market. These two facilities will be built in the Belle-Rive and the overall cost will turn around Rs 223 million and Rs 370
million, respectively. Plots of land will also be put at the disposal
of entrepreneurs, he stated, adding that some 300 acres are being
identified for the commercial exploitation of livestock. These lands will be equipped with all the necessary infrastructure such as water, electricity and access facilities, assured Mr Seeruttun.
“Government acts as a facilitator, it is now up to entrepreneurs to seize every opportunity to revive the livestock sector, an important niche of wealth, growth and jobs for Mauritius”, he stressed.
We want the livestock sector to record a real boom in the coming years. We need to reinvent our way of working and become more enterprising, said the Minister. This sector, he affirmed, has enormous potential since it can help the country reduce its import volume, create direct and indirect jobs, and assist in achieving a good level of self-sufficiency in the production of milk and meat.
Government Information Service, Prime Minister’s Office, Level 6, New Government Centre, Port Louis, Mauritius. Email: gis@govmu.org Website:http://gis.govmu.org
LE MATINAL
Le secteur de l’élevage, visant principalement la production de la viande et du lait, constitue un pilier économique important pour l’État. Cela ne souffre d’aucune contestation !
On est tous d’accord. Mais, ce secteur, trop longtemps délaissé, doit connaître un changement drastique : sortir d’un système révolu, voire archaïque pour aller vers une professionnalisation de ses activités afin d’atteindre son véritable potentiel, que ce soit en production laitière ou de viande bovine, ovine, porcine, caprine ainsi que celle du poulet. C’est ce qu’a dé-claré, mardi, à l’hôtel Voilà à Bagatelle, le ministre de l’Agro-industrie, Mahen Seeruttun, lors d’un atelier de travail pour valider le Livestock Policy Paper.
“Une autre filière que nous voulons développer sur une grande échelle et qui viendra sûrement renforcer ce secteur est celle de l’élevage des dindes, canards et lapins. Une analyse des der-nières statistiques nous laisse un constat pas très réconfortant concernant notre secteur de l’élevage. Notre pays est devenu très dépendant d’importations qu’il s’agisse de la production du lait ou de la viande”, dit-il. Il nous faut donc réagir vite, bien et avec efficacité. “Nous proposons une stratégie et des actions visant à renverser cette tendance. Nous allons poursuivre nos efforts pour réduire de façon significative notre dépendance sur l’importation. Je suis personnellement convaincu qu’en réunissant nos efforts comme une seule équipe, nous allons réussir dans cette tâche. Il y a un besoin urgent de donner une nouvelle impulsion à notre production locale pour atteindre ce but”, dit-il.
Cet atelier de travail donne l’occasion de mettre en exergue, les différentes étapes de la production et surtout l’environnement pénible dans lequel doivent évoluer nos éleveurs. L’hygiène et l’environnement sanitaire, l’alimentation, la reproduction et la santé des animaux resteront les aspects critiques sur lesquels les éleveurs doivent se concentrer davantage. Ces derniers doivent redoubler leurs efforts pour améliorer la production. “Quand les consommateurs découvriront l’itiné-raire de la production, ils se rendront compte des efforts fournis et du savoir-faire des éleveurs. L’intérêt et l’engouement pour les produits venant de ces mêmes fermes se décupleront. Déjà, mon ministère s’est lancé dans deux projets d’envergure visant à doter le pays de facilités pour consolider les infrastructures de production. J’annonce ici la construction d’un abattoir moderne répondant aux normes européennes ainsi que d’un National Wholesale Market”, dit-il. Ces deux infrastructures seront construites dans la région de Belle-Rive. Le coût global se tournera autour de Rs 223 millions pour l’abattoir et Rs 370 millions pour le National Wholesale Market.
Le ministre souhaite que le secteur de l’élevage enregistre un essor réel dans les prochaines années. “Nous ne voulons pas d’actions décomposées, il nous faut réinventer notre manière de fonctionner et devenir plus entreprenant. Ici, il nous faut réfléchir sur l’aspect “jeune”, voir comment attirer les détenteurs de diplômes universitaires dans le secteur en question. L’avenir, ce sont les jeunes de notre pays. Ainsi, je demanderai aux partenaires réunis ici de travailler pour donner une nouvelle orientation à ce secteur, en tenant compte des défis nationaux, internationaux et des exigences du marché”, dit le ministre.
Le gouvernement met des espaces à la disposition des entrepreneurs. Déjà, nous avons identifié une superficie de 300 arpents afin d’étendre l’espace disponible pour l’exploitation commerciale de l’élevage. Dans ce monde très compétitif, il y a urgence de regarder dans la même direction, dit-il. “Comme l’a si bien dit notre Premier ministre sir Anerood Jugnauth. Je cite : “There is no Government side, no private sector side; there is a nation and it is the Republic of Mauritius”. Nous comptons aussi beaucoup sur l’implication du Board of Investment, de la Chambre d’agriculture et de la Chambre de commerce et d’industrie, entre autres. Quant à moi, je renouvelle tout mon soutien aux actions progressistes et je vous garantis que je veillerai personnellement à la mise en oeuvre des incitations pour faciliter l’épanouissement du secteur de l’élevage en attendant la présentation prochaine d’un Master Plan pour l’Agro-industrie et la sécurité alimentaire”, a fait ressortir le ministre.
LE MATINAL
Le secteur de l’élevage, visant principalement la production de la viande et du lait, constitue un pilier économique important pour l’État. Cela ne souffre d’aucune contestation !
On est tous d’accord. Mais, ce secteur, trop longtemps délaissé, doit connaître un changement drastique : sortir d’un système révolu, voire archaïque pour aller vers une professionnalisation de ses activités afin d’atteindre son véritable potentiel, que ce soit en production laitière ou de viande bovine, ovine, porcine, caprine ainsi que celle du poulet. C’est ce qu’a dé-claré, mardi, à l’hôtel Voilà à Bagatelle, le ministre de l’Agro-industrie, Mahen Seeruttun, lors d’un atelier de travail pour valider le Livestock Policy Paper.
“Une autre filière que nous voulons développer sur une grande échelle et qui viendra sûrement renforcer ce secteur est celle de l’élevage des dindes, canards et lapins. Une analyse des der-nières statistiques nous laisse un constat pas très réconfortant concernant notre secteur de l’élevage. Notre pays est devenu très dépendant d’importations qu’il s’agisse de la production du lait ou de la viande”, dit-il. Il nous faut donc réagir vite, bien et avec efficacité. “Nous proposons une stratégie et des actions visant à renverser cette tendance. Nous allons poursuivre nos efforts pour réduire de façon significative notre dépendance sur l’importation. Je suis personnellement convaincu qu’en réunissant nos efforts comme une seule équipe, nous allons réussir dans cette tâche. Il y a un besoin urgent de donner une nouvelle impulsion à notre production locale pour atteindre ce but”, dit-il.
Cet atelier de travail donne l’occasion de mettre en exergue, les différentes étapes de la production et surtout l’environnement pénible dans lequel doivent évoluer nos éleveurs. L’hygiène et l’environnement sanitaire, l’alimentation, la reproduction et la santé des animaux resteront les aspects critiques sur lesquels les éleveurs doivent se concentrer davantage. Ces derniers doivent redoubler leurs efforts pour améliorer la production. “Quand les consommateurs découvriront l’itiné-raire de la production, ils se rendront compte des efforts fournis et du savoir-faire des éleveurs. L’intérêt et l’engouement pour les produits venant de ces mêmes fermes se décupleront. Déjà, mon ministère s’est lancé dans deux projets d’envergure visant à doter le pays de facilités pour consolider les infrastructures de production. J’annonce ici la construction d’un abattoir moderne répondant aux normes européennes ainsi que d’un National Wholesale Market”, dit-il. Ces deux infrastructures seront construites dans la région de Belle-Rive. Le coût global se tournera autour de Rs 223 millions pour l’abattoir et Rs 370 millions pour le National Wholesale Market.
Le ministre souhaite que le secteur de l’élevage enregistre un essor réel dans les prochaines années. “Nous ne voulons pas d’actions décomposées, il nous faut réinventer notre manière de fonctionner et devenir plus entreprenant. Ici, il nous faut réfléchir sur l’aspect “jeune”, voir comment attirer les détenteurs de diplômes universitaires dans le secteur en question. L’avenir, ce sont les jeunes de notre pays. Ainsi, je demanderai aux partenaires réunis ici de travailler pour donner une nouvelle orientation à ce secteur, en tenant compte des défis nationaux, internationaux et des exigences du marché”, dit le ministre.
Le gouvernement met des espaces à la disposition des entrepreneurs. Déjà, nous avons identifié une superficie de 300 arpents afin d’étendre l’espace disponible pour l’exploitation commerciale de l’élevage. Dans ce monde très compétitif, il y a urgence de regarder dans la même direction, dit-il. “Comme l’a si bien dit notre Premier ministre sir Anerood Jugnauth. Je cite : “There is no Government side, no private sector side; there is a nation and it is the Republic of Mauritius”. Nous comptons aussi beaucoup sur l’implication du Board of Investment, de la Chambre d’agriculture et de la Chambre de commerce et d’industrie, entre autres. Quant à moi, je renouvelle tout mon soutien aux actions progressistes et je vous garantis que je veillerai personnellement à la mise en oeuvre des incitations pour faciliter l’épanouissement du secteur de l’élevage en attendant la présentation prochaine d’un Master Plan pour l’Agro-industrie et la sécurité alimentaire”, a fait ressortir le ministre.
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