
A l’occasion de la célébration des 50 ans d’existence de l’Université de Maurice (UoM) ce matin à l’auditorium Octave Wiehe, le Premier ministre, sir Anerood Jugnauth, a estimé « très important » pour lui de « reconnaître la contribution majeure de l’UoM dans le développement économique et social » du pays. Il a par ailleurs estimé qu’il serait approprié que l’UoM soit la « flag university » de Maurice. De son côté, la ministre de l’Education, Leela Devi Dookun-Luchoomun, a souligné l’importance de créer de nouvelles filières ayant trait aux demandes actuelles, telles la biotechnologie et le changement climatique.
Le Premier ministre a salué le rôle clé de l’UoM dans le secteur de l’Océanie. Alors que le gouvernement s’est engagé à développer un nouveau secteur, promis à devenir un pilier de notre pays, soit l’Océanie, SAJ s’est réjoui que l’UoM chapeaute le Capacity Building, Training and Employment Working Group, un des groupes de travail du National Ocean Council initié par le gouvernement. Il s’est par ailleurs réjoui de la nouvelle faculté d’études océaniques à l’UoM.
Il devait rappeler avoir été plusieurs fois présent à l’auditorium Octave Wiehe de l’UoM. D’ailleurs, lui-même y a été fait Doctor of Civil Law honoris causa. Il devait féliciter le premier établissement tertiaire de l’île pour ses « 50 années illustres et sa remarquable transformation ». Et de reconnaître sa contribution majeure dans le développement économique et social du pays durant les cinq dernières décennies. L’UoM, ajoute-t-il, « a soutenu les divers secteurs du pays à chaque phase de leur développement », notamment dans les domaines de l’agriculture, du textile, du tourisme, des services financiers et de l’informatique.
SAJ devait rappeler que l’idée de la création d’une université dans l’île émana d’abord d’Adrien d’Epinay, dans les années 1830, mais que ce projet devait être rejeté pendant longtemps, considéré alors comme « trop ambitieux et irréaliste ». C’est en 1914 qu’une première école d’agriculture vit le jour avant de se transformer en faculté en 1966. Deux ans plus tard, l’UoM se dotait de trois campus : l’agriculture, l’administration et les technologies industrielles. Aujourd’hui, l’institution compte six facultés.
Le Premier ministre a salué le rôle clé de l’UoM dans le secteur de l’Océanie. Alors que le gouvernement s’est engagé à développer un nouveau secteur, promis à devenir un pilier de notre pays, soit l’Océanie, SAJ s’est réjoui que l’UoM chapeaute le Capacity Building, Training and Employment Working Group, un des groupes de travail du National Ocean Council initié par le gouvernement. Il s’est par ailleurs réjoui de la nouvelle faculté d’études océaniques à l’UoM.
Il devait rappeler avoir été plusieurs fois présent à l’auditorium Octave Wiehe de l’UoM. D’ailleurs, lui-même y a été fait Doctor of Civil Law honoris causa. Il devait féliciter le premier établissement tertiaire de l’île pour ses « 50 années illustres et sa remarquable transformation ». Et de reconnaître sa contribution majeure dans le développement économique et social du pays durant les cinq dernières décennies. L’UoM, ajoute-t-il, « a soutenu les divers secteurs du pays à chaque phase de leur développement », notamment dans les domaines de l’agriculture, du textile, du tourisme, des services financiers et de l’informatique.
SAJ devait rappeler que l’idée de la création d’une université dans l’île émana d’abord d’Adrien d’Epinay, dans les années 1830, mais que ce projet devait être rejeté pendant longtemps, considéré alors comme « trop ambitieux et irréaliste ». C’est en 1914 qu’une première école d’agriculture vit le jour avant de se transformer en faculté en 1966. Deux ans plus tard, l’UoM se dotait de trois campus : l’agriculture, l’administration et les technologies industrielles. Aujourd’hui, l’institution compte six facultés.